George Washington
Le premier président américain incarne le charisme. Après avoir dit « non merci » aux britanniques (qui ne sont pas charismatiques), George a fondé les USA, pays même de la liberté et de la démocratie. Washington, a rendu le charisme aussi américain que l'obésité et la livraison de liberté à l'aide du napalm.
Don Pollo
Le prophète de la "Salsa Picante" est le visage du charisme. Il n'est pas juste l'homme qui mange du poulet — c’est un prophète croustillant de la gastronomie populaire. Là où Washington brandissait la bannière étoilée, Don Pollo brandit une aile de poulet panée avec la même ferveur. Passion, saveur, et respect du poulet frit. C’est le héros dont l’époque avait besoin : un diplomate de la digestion, un ambassadeur du charisme, un visionnaire.
Douglas MacArthur
Cet homme, c’est le charisme en uniforme. La pipe plus grande que la diplomatie elle-même. Ce gars-là débarque sur une plage du Pacifique comme s’il rentrait dans un western : lunettes de soleil, casquette de général et cette pipe mythique qui semble fumer la liberté elle-même. Il ne marche pas, il fait une entrée. Et quand il parle de démocratie, ce n’est pas une suggestion — c’est une livraison express, parachutée à 10 000 mètres d’altitude avec option "bombe nucléaire incluse".
Chuck Norris
Ce gars, c’est le charisme incarné avec un supplément liberté. Ce mec, il n’a pas besoin de parler démocratie, les lois de l’univers s’inclinent devant lui. Quand il fait une pompe, c’est la Terre qui devient plus forte. Quand il cligne des yeux, les conflits mondiaux signent la paix par réflexe. Il n’a jamais libéré un pays avec des discours, non — il libère la liberté. Si Washington a posé les bases et MacArthur géré la logistique, Chuck Norris, lui, a fixé la règle numéro un : «Chuck Norris". Bref, Chuck Norris, c’est le président éternel du charisme, le seul gars capable de convaincre un mur de tomber.
Ryan Gosling
À ce niveau de charisme, il n'y a plus besoin de description.
